Cette nuit, j'ai fais un cauchemar.
Terrible comme tous les cauchemar, sinon ce n'en serait plus. Il y avait des tueurs, mon ancien collège, mes anciennes amies de collèges dont une personnifiée en mon mari (rien que ça!) et les tueurs étaient ces amis + mon mari/ancienne amie.
Il/elle voulait me tuer, je voulais l'assommer avec un livre tout en la/le poursuivant dans les couloirs du collège, et je sombrais dans la dépression la plus totale en réalisant que je devais quitter tout ça et mon mari devenu tueur.
Ce cauchemar m'a été influencé par l'une de mes dernières lectures.
J'ai lu "we need to talk about Kevin" (il faut qu'on parle de Kevin) de Lionel Shriver
Terrible comme tous les cauchemar, sinon ce n'en serait plus. Il y avait des tueurs, mon ancien collège, mes anciennes amies de collèges dont une personnifiée en mon mari (rien que ça!) et les tueurs étaient ces amis + mon mari/ancienne amie.
Il/elle voulait me tuer, je voulais l'assommer avec un livre tout en la/le poursuivant dans les couloirs du collège, et je sombrais dans la dépression la plus totale en réalisant que je devais quitter tout ça et mon mari devenu tueur.
Ce cauchemar m'a été influencé par l'une de mes dernières lectures.
J'ai lu "we need to talk about Kevin" (il faut qu'on parle de Kevin) de Lionel Shriver
C'est un très bon livre. Angoissant, touchant et horrible. Kevin, par un jeudi de 1998, massacre dix élèves et une enseignante dans son lycée. Suite à cette tuerie, sa mère entame une correspondance assidue avec son mari pour tenter de comprendre et exorciser sa douleur.
Ce roman, car c'est une fiction, une fiction! m'a laissé un sentiment de malaise. Gros malaise.
Bon, maintenant, j'ai besoin de lire des livres + gais!
Ce roman, car c'est une fiction, une fiction! m'a laissé un sentiment de malaise. Gros malaise.
Bon, maintenant, j'ai besoin de lire des livres + gais!